A minima, ma loi doit être propre et ne pas déranger
mon entourage, mais m’en arrêter là serait confondre autonomie et
indépendance. Mon rêve secret n’est-il pas de me sauver tout seul ? Même
si souvent j’appelle à l’aide un partenaire, SOS assistance.
Ma gloire, si je l’analyse bien, serait de me
suffire à moi-même " ça roule pour moi ". Cette loi ne doit pas être le
culte à la tranquillité. La citoyenneté n’est pas l’indifférence, ni un
"chacun fait ce qui lui plaît du moment qu’on ne me dérange pas".
J’aimerai m’inscrire dans un chemin de vie où j’avance en humanité et
permet – je ne sais par quelle secrète voie – à des frères et des sœurs
d’avancer. Comme d’autres par leur exemple m’ont, me permettent de le
faire.
M’accorder : comme un instrumentiste faisant partie
d’un orchestre, créer une harmonie, se relier à d’autres par le cœur
profond. Pour un bien commun donc d’abord un bien pour moi et aussi pour
d’autres.
Que ma loi s’accorde ou non à un bien commun, devrait être un bon
moyen de discernement.
P...